Assis sur le banc public (RP avec Ceidia Narquin)
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Phobos :: En-jeux :: La place centrale
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Assis sur le banc public (RP avec Ceidia Narquin)
:La journée était belle et le soleil devait être à son zénith, ou très près de l'être. C'était une journée de congé pour le jeune Veilleur, alors il avait pu dormir sa nuit entière cette nuit-là.
Assis sur un banc public, les manches de Morato étaient relevées, révélant du côté gauche son avant-bras fait de technomagie et, du côté droit, ses écailles bleutées qui parsemaient son bras entier et rappelait ses origines. Il était très rare que Morato relève ses manches ainsi en public, pour diverses raisons, mais l'endroit où il se trouvait était relativement vide. Morato appréciait particulièrement ce banc, car il avait été fait par son oncle qui faisait maintenant partie de la famille Narquin, dans le temps qu'il était encore entièrement un Zeder.
L'Huldres semblait astiquer son bras fait de diverses métaux avec un tissu. Il vérifiait aussi que les boulons et les écrous étaient bien en place et bien serrés. Concentré sur sa tâche, comme il était toujours le cas lorsqu'il travaillait avec son outil, il avait peu conscience de ce qui se passait autour de lui.
Assis sur un banc public, les manches de Morato étaient relevées, révélant du côté gauche son avant-bras fait de technomagie et, du côté droit, ses écailles bleutées qui parsemaient son bras entier et rappelait ses origines. Il était très rare que Morato relève ses manches ainsi en public, pour diverses raisons, mais l'endroit où il se trouvait était relativement vide. Morato appréciait particulièrement ce banc, car il avait été fait par son oncle qui faisait maintenant partie de la famille Narquin, dans le temps qu'il était encore entièrement un Zeder.
L'Huldres semblait astiquer son bras fait de diverses métaux avec un tissu. Il vérifiait aussi que les boulons et les écrous étaient bien en place et bien serrés. Concentré sur sa tâche, comme il était toujours le cas lorsqu'il travaillait avec son outil, il avait peu conscience de ce qui se passait autour de lui.
Benoit Lacombe- Grammaticus Correctionex
- Messages : 227
Date d'inscription : 12/10/2014
Age : 33
Re: Assis sur le banc public (RP avec Ceidia Narquin)
La jeune saelig sorti de l'institut de médecine en s'étirant. Elle avait travaillé toute la matinée sans arrêt à trouver une façon de pouvoir guérir ceux qui avait été gravement empoisonnés par le liquide qui s'échappait par la fuite du générateur. Elle pouvait apaiser l'empoisonnement pour la journée mais elle devait le refaire à nouveau le lendemain matin et ainsi de suite.
Heureusement, avec l'aide de Séléna, elle avait pu identifier la composition du liquide et espérait trouver un antidote pour pouvoir les guérir de façon permanente. Aussi grâce à Kloros et Morato, la brèche du générateur avait été colmatée.
En regardant la place centrale, elle aperçu Morato assis plus loin. Elle alla le rejoindre et s'assit à côté de lui.
"Hey salut Morato, qu'est-ce que tu fais ici? Je te croyais chez toi pour ta journée de repos" lui demandant-elle amicalement avec un sourire radieux.
Heureusement, avec l'aide de Séléna, elle avait pu identifier la composition du liquide et espérait trouver un antidote pour pouvoir les guérir de façon permanente. Aussi grâce à Kloros et Morato, la brèche du générateur avait été colmatée.
En regardant la place centrale, elle aperçu Morato assis plus loin. Elle alla le rejoindre et s'assit à côté de lui.
"Hey salut Morato, qu'est-ce que tu fais ici? Je te croyais chez toi pour ta journée de repos" lui demandant-elle amicalement avec un sourire radieux.
Ceidia Narquin- Messages : 20
Date d'inscription : 01/03/2015
Age : 29
Re: Assis sur le banc public (RP avec Ceidia Narquin)
Morato était en train de frotter sa prothèse lorsqu'il entendit des bruits de pas de quelqu'un qui approchait. En une fraction de seconde, il eut peur que ce soit une personne qu'il ne connaissait pas ou à peine, qui viendrait le juger parce qu'il est un Huldres, parce qu'il est différent ou parce qu'il est en train de frotter sa prothèse en public. Il eut aussi peur de devoir entamer une conversation qu'il ne voulait pas avec une personne qu'il ne connaissait probablement qu'à peine.
Puis, il leva les yeux et remarqua qu'il s'agissait de Ceidia. Son humeur changea du tout au tout. Il sentit son anxiété du moment se vider d'un coup, comme si quelqu'un avait ouvert au complet le robinet de ses angoisses. La vue de son amie d'enfance, qui avait aussi été son tout premier amour, le soulageait toujours autant. Il n'arrivait pas à l'expliquer, mais c'était la seule personne au monde avec laquelle il était à 100% à l'aise. Même ses propres parents n'avaient pas droit à cela.
Il interrompit son travail et lui adressa un franc sourire, bien plus large que celui qu'il adressait aux autres.
- ''Ceidia, bonjour. Oh là, tu as l'air fatiguée, toi. Tu travailles encore sur la maladie causée par le liquide de la génératrice?
Il n'y a rien à faire, chez moi. J'ai eu envie de prendre l'air... et je suis bien content de l'avoir fait.''
Disant cela en la regardant, il faisait sans doute référence au fait qu'ils avaient une occasion de se parler grâce à cela. Le fait qu'il ait eu envie de prendre l'air, de la part de l'Artificier qui a toujours préféré le moins de contacts sociaux possible, à l'exception de Ceidia, pouvait paraître étrange pour elle. Après tout, avant cette année, Morato préférait travailler sur ses projets d'Artifice dans sa chambre chez ses parents au lieu de sortir dehors, face aux potentielles conversations qui lui faisaient peur.
Puis, il leva les yeux et remarqua qu'il s'agissait de Ceidia. Son humeur changea du tout au tout. Il sentit son anxiété du moment se vider d'un coup, comme si quelqu'un avait ouvert au complet le robinet de ses angoisses. La vue de son amie d'enfance, qui avait aussi été son tout premier amour, le soulageait toujours autant. Il n'arrivait pas à l'expliquer, mais c'était la seule personne au monde avec laquelle il était à 100% à l'aise. Même ses propres parents n'avaient pas droit à cela.
Il interrompit son travail et lui adressa un franc sourire, bien plus large que celui qu'il adressait aux autres.
- ''Ceidia, bonjour. Oh là, tu as l'air fatiguée, toi. Tu travailles encore sur la maladie causée par le liquide de la génératrice?
Il n'y a rien à faire, chez moi. J'ai eu envie de prendre l'air... et je suis bien content de l'avoir fait.''
Disant cela en la regardant, il faisait sans doute référence au fait qu'ils avaient une occasion de se parler grâce à cela. Le fait qu'il ait eu envie de prendre l'air, de la part de l'Artificier qui a toujours préféré le moins de contacts sociaux possible, à l'exception de Ceidia, pouvait paraître étrange pour elle. Après tout, avant cette année, Morato préférait travailler sur ses projets d'Artifice dans sa chambre chez ses parents au lieu de sortir dehors, face aux potentielles conversations qui lui faisaient peur.
Benoit Lacombe- Grammaticus Correctionex
- Messages : 227
Date d'inscription : 12/10/2014
Age : 33
Re: Assis sur le banc public (RP avec Ceidia Narquin)
Elle sourit
"Oui en effet, j'ai décidé de faire une petite pause, c'est une très belle journée après tout, autant profiter du soleil."
Ceidia s'installa plus confortablement sur le banc. Elle était bien contente de passer un moment avec son meilleur ami et aussi ami d'enfance. La cadette des Narquin observa ce que Morato fesait.
"Ah? Est-ce que ton bras te cause des soucis encore?"
Elle pris délicatement son avant-bras dans ses mains, l'air un peu pensif.
"J'aimerai pouvoir t'aider avec ton bras lorsqu'il s’endommage au combat, mais je ne peux que guérir tes blessures physiques.....et je ne veux vraiment pas qu'il t'arrive quelque chose au combat que je ne pourrait rien faire.....
Ceidia resta un moment silencieuse, mais retrouva son sourire.
"De toute façon, je crois que je ferais une piètre artificienne!" S'exclama-t-elle en ricanant.
"Oui en effet, j'ai décidé de faire une petite pause, c'est une très belle journée après tout, autant profiter du soleil."
Ceidia s'installa plus confortablement sur le banc. Elle était bien contente de passer un moment avec son meilleur ami et aussi ami d'enfance. La cadette des Narquin observa ce que Morato fesait.
"Ah? Est-ce que ton bras te cause des soucis encore?"
Elle pris délicatement son avant-bras dans ses mains, l'air un peu pensif.
"J'aimerai pouvoir t'aider avec ton bras lorsqu'il s’endommage au combat, mais je ne peux que guérir tes blessures physiques.....et je ne veux vraiment pas qu'il t'arrive quelque chose au combat que je ne pourrait rien faire.....
Ceidia resta un moment silencieuse, mais retrouva son sourire.
"De toute façon, je crois que je ferais une piètre artificienne!" S'exclama-t-elle en ricanant.
Ceidia Narquin- Messages : 20
Date d'inscription : 01/03/2015
Age : 29
Re: Assis sur le banc public (RP avec Ceidia Narquin)
Morato eut un petit rire aussi. Décidément, la bonne humeur de Ceidia était contagieuse. Il lui répondit avec un petit sourire plaisanteur.
- ''On dit artificière. La première étape serait définitivement d'apprendre les termes, pour toi.''
Alors qu'il ne laissait généralement personne le toucher pour diverses raisons, il ne broncha pas lorsque Ceidia prit son bras dans ses mains et qu'elle l'examina légèrement. Il rougit légèrement, comme ça lui arrivait de temps en temps lorsqu'elle s'occupait de lui. Il ne le remarquait lui-même plus vraiment.
- ''Il ne me cause pas de problème. Enfin, rien que je ne peux réparer moi-même. Je le lavais simplement en utilisant une méthode pour pas qu'il rouille. La Mahar’ashi qui me les a posé m'a dit que, malgré leurs pouvoirs, il se pouvait qu'un membre Huldres mal entretenu rouille un peu, alors je ne prends pas de chance. De quoi aurais-je l'air, un Zeder Huldres avec de la rouille...''
À nouveau, il ne put s'empêcher d'afficher un léger sourire. Il se frotta légèrement le derrière du cou de façon complètement insignifiante, lui-même ne sachant pas trop pourquoi il avait fait ce geste, mais il ne s'y attarda pas du tout.
- ''Si tu le souhaites vraiment, par contre, je pourrais te montrer les bases tout comme mon père les a montré à ma mère. Ça s'apprend, ces choses-là et je suis sûr que tu ne serais pas si mauvaise que ça. Je devais justement...''
Il s'interrompit. Était-ce ce qu'on appelait une intuition? Il n'avait jamais réellement eu ce genre de chose, sauf à certaines rares occasions lorsqu'il faisait de l'artifice. Néanmoins, peu importe ce que c'était, ça semblait vouloir l'empêcher de dire quelque chose, alors il décida de l'écouter. Il eut un autre petit sourire et la regarda en lui parlant, poursuivant différemment ce qu'il disait après une interruption assez courte causée par sa réflexion.
- ''En fait, on pourrait commencer avec quelque chose de très facile, comme une ceinture. C'est comme ça que j'ai commencé, moi.''
Il eut un regard pour la ceinture qu'il portait dans laquelle était gravé le symbole de la Cinétomancie.
- ''On dit artificière. La première étape serait définitivement d'apprendre les termes, pour toi.''
Alors qu'il ne laissait généralement personne le toucher pour diverses raisons, il ne broncha pas lorsque Ceidia prit son bras dans ses mains et qu'elle l'examina légèrement. Il rougit légèrement, comme ça lui arrivait de temps en temps lorsqu'elle s'occupait de lui. Il ne le remarquait lui-même plus vraiment.
- ''Il ne me cause pas de problème. Enfin, rien que je ne peux réparer moi-même. Je le lavais simplement en utilisant une méthode pour pas qu'il rouille. La Mahar’ashi qui me les a posé m'a dit que, malgré leurs pouvoirs, il se pouvait qu'un membre Huldres mal entretenu rouille un peu, alors je ne prends pas de chance. De quoi aurais-je l'air, un Zeder Huldres avec de la rouille...''
À nouveau, il ne put s'empêcher d'afficher un léger sourire. Il se frotta légèrement le derrière du cou de façon complètement insignifiante, lui-même ne sachant pas trop pourquoi il avait fait ce geste, mais il ne s'y attarda pas du tout.
- ''Si tu le souhaites vraiment, par contre, je pourrais te montrer les bases tout comme mon père les a montré à ma mère. Ça s'apprend, ces choses-là et je suis sûr que tu ne serais pas si mauvaise que ça. Je devais justement...''
Il s'interrompit. Était-ce ce qu'on appelait une intuition? Il n'avait jamais réellement eu ce genre de chose, sauf à certaines rares occasions lorsqu'il faisait de l'artifice. Néanmoins, peu importe ce que c'était, ça semblait vouloir l'empêcher de dire quelque chose, alors il décida de l'écouter. Il eut un autre petit sourire et la regarda en lui parlant, poursuivant différemment ce qu'il disait après une interruption assez courte causée par sa réflexion.
- ''En fait, on pourrait commencer avec quelque chose de très facile, comme une ceinture. C'est comme ça que j'ai commencé, moi.''
Il eut un regard pour la ceinture qu'il portait dans laquelle était gravé le symbole de la Cinétomancie.
Benoit Lacombe- Grammaticus Correctionex
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