Petite conversation au mariage (Rp avec Camille)

[Douglas Ravenhill]

Dampé vivait une journée très heureuse, les invités étaient nombreux, la plupart on donné leur félicitation à lui même et sa femme, la belle Sophie. Il c'était excusé à Gilmore, qui avait oublier d'invité.

Paré de ces plus beau atours, une redingote toute propre et un chapeau haut de forme en feutre rigide juste pour l'occasion. Tolia c'était occupé de sa moustache et de ces cheveaux, les rendant parfaitement symétrique, mais se fut sur sa femme que Tolia déploya toute son imagination et son talent, autant dans la robe que les cheveux.

Dampé déambulait à travers les invités, les saluant et leur parlant un peu, il était unit à sa femme depuis à peu près une heure et toute ces cousines ont presque volé sa femme, l'entourant, la félicitant et gloussant.

Son regard fut attiré par Camille Smith, qui semblait cherché dans la foule des gens. Il s'avança jusqu'à en fessant un salut du chapeau. Parlant avec une voix bien plus légerte et joyeuse qu'à l'habitude.

- Bien le bonjour mademoiselle Smith, alors, la fête vous plaît-elle?

[Abygaël Ravenhill]

Camille observa le nouveau marié dans toute son élégance et sourit. Elle admira le haut de forme si droit et sa redingote si bien choisie. Si ce n'était de son emploi... de son nom de famille... de ses passes-temps étranges... et son allure plutôt chétive, il aurait fort probablement été un bon candidat se disait-elle... Lorsque celui-ci s'approcha et l'interpella, elle sourit un peu plus, tendant la main pour la lui serrer avec conviction.

- Mon bon Macabé, vous voilà! Je suis bien heureuse de vous voir. J'aimerais vous offrir mes félicitations pour votre mariage!

Puis elle fit un geste du bras vers les alentours.

- La fête est merveilleuse, jamais n'avons-nous pas eu autant de joie au village.

Mentit-elle. Effectivement, elle trouvait les gens mornes, rempli de plus ou moins fausse gaieté.

- Il y a longtemps qu'on ne s'est vu, le travail à la porte sud m'a totalement prise durant les derniers mois! Comment vont les affaires?

[Douglas Ravenhill]

Dampé partagais la joie de Camille, la fête était effectivement réussite. Il se mit à regardé au alentour. Ces cousins qui jouaient à un jeu de force pour impressionné les autre demoiselle présente, les rires qui éclatent, les toasts entre bonne gens et la musique... Il y a une joie que le village à peu connu cette année.

- Merci beaucoup, cette fête de mariage n'est pas vraiment l'événement le plus heureux que le village ai jamais connu, se serai exagéré, je dirais plus l'événement le plus heureux depuis trop longtemps.

Seul une personne qui aurait passez l'année sous une roche aurait dit que cette année fut normal, elle fut désespérante et sombre, mais les villageois et Dampé on gardé espoir en des jours meillieurs, tel une flamme d'une bougie que tu garde désespérément pour pas qu'elle s'éteigne et que les ténébre t'engouffre.

- Pour se qui est des affaires, je dirais que les choses vont plus ou moins bien, on m'a libéré de prison il y a de cela deux semaines environs et il y a eu Rajik et Fort-Céleste... Mais qu'importe, à la Nuit ces malheurs.

Il fit en grand geste de la main, balayant l'air comme si les malheur dont il fessait référence était de la poussière sur une étagère.

- En parlant de la Nuit... Les priant semble avoir disparu et ceux en ville mort. Mon cousin Bastien et Jean-Guy Gilmore m'aident à la porte Nord, mais nous avons toujours pas d'instalation adéquate pour les torches à la porte. Sacré Damien et Gaspard, ils ont pas vu l'intérêt de faire construire se genre de truc il y a 10 ans...

[Abygaël Ravenhill]

Camille cacha bien mal sa surprise.  Bien qu'elle n'avait pas fait d'effort pour s'informer du village durant les derniers mois, elle ne pensa pas que l'homme devant elle puisse faire un acte suffisant pour être emprisonné.  Lorsqu'il tergiversa vers les constructions, elle le suiva, ne voulant pas attirer le mauvais oeil en un jour de joie pour son partenaire de travail.

- Oui, cette fichue porte.  J'avais fait demander de faire changer les torches et de modeler une meilleure méthode pour garder le feu mais le conseil m'a dit qu'il m'en reparlerait juste avant que je...  ne tombe malade.  Puis, ils sont venus me consulter pour la porte Sud qui demandait de plus grandes rénovations.  Mais c'est maintenant qu'elle est forte et solide pour nous protéger de l'extérieur...

Elle hésita et finit sa phrase en murmurant

- Que les monstres sont à l'intérieur.

[Douglas Ravenhill]

Dampé entendit à peine le murmure à travers  les bruit de la fête, mais il en devina le sens grâce au reste de sa phrase, le visage de Dampé prit une expression bien plus grave.

- J'aimerai qu'on évite le sujet le plus possible, ces derniers ne sont plus sans allié parmis nous, les Pures seul savent leur limite dont je ne voudrais en aucun cas testé, en particulier maintenant que je suis marié...

Il y a de cela un ans, Dampé n'aurait pas hésité une seconde à rejoindre un mouvement révolutionnaire contre un occupant, mais il y a un ans, il n'avait pas une femme à protégé, une famille à bâtir et des projets en tête.

- Pour ma part, ma préoccupation première sont les projets divers qui occupe mon esprit. J'ignorais totalement que vous avez été malade au cours des derniers mois.

[Abygaël Ravenhill]

Camille frotta son front et son visage, les derniers mois avaient été très pénibles.

- Oui, quelques problèmes de santé m'ont longtemps cloué au lit.  Rien de très grave, ne vous inquiétez pas, juste assez pour m'empêcher d'aller travailler quelques temps.

Puis elle observa dans le fond des yeux Dampé.  Elle voyait chez lui le même mouvement qu'elle voyait chez les autres villageois.

- Mais oui, pensez à vous même, vos projets, votre petite vie à vous.  Je parie que vous cachez une chaussette de cobaltine sous votre lit, vous aussi.  Je vois un mouvement d'égoïsme dans le village, et si ça continue ainsi, bientôt, ce sera chacun pour soi, comme avant la création du village.  Ça leur fait bien plaisir cette étrange révolution!  Maintenant, les vices les plus profond de possession et d'individualisme prennent forme et peuvent être libérés sans crainte aucune.  Lorsque chacun fera que pour soi, qui prendra soin des anciens et des malades?  Qui se battra pour protéger les gens à l'intérieur?  Cette méthode créera des faibles et des démunis...

[Douglas Ravenhill]

Dampé sourcilla face à la remarque de Camille. Un projet individualiste? Si elle aurait été dans sa tête, elle en penserai autrement... Ou aurait bien peur, puisque qu'il y a une certaine personalité psychopathe qui guette tel un fauve sa chance pour apparaître.

- Mon projet est bien loin de se que vous croyé, ma chère Camille Smith... Bien loin... Et je n'ai plus de cobaltine, le mariage à prit toute les économie du mois. Tolia offre pas ces services pour du beurre...

Il prit une chaise auxquelles y prit place, il posa son chapeau sur la table et se toucha la moustache. Il reprit la conversation.

- Mon projet, c'est de continué se que mon grand-père et mon père on bâtie. Faire une institution, rien de moins, travailliez pour la communauté, comme nous l'avons toujours fait dans notre famille, mais avoir des pouvoir qui nous sont inaccessible pour mieux aidé les gens. Nous sommes pas des radins, Camille, sinon, nous ferions payé les gens chaque fois qu'il meure. Certaines personnes donne plus pour des arrangements spéciaux certe, mais tous, sans exception,qui on eu une vie à Roenberg et à suivie nos lois aura sa place pour l'éternité chez nous.

Il prit un morceau de gâteau au citron d'Alexander qui était sur la table, le croquant à pleine dent. Lorsqu'il eu terminé d'avalé, il continua.

- Pour ce qui est de l'individualisme et d'égoïsme qui se répend comme un rhume en hiver, sachez que je le trouve moi aussi, inquiétant. Surtout dans un optique où une course au profit pourrai débalancé le système, comme si une occupation n'était pas assez, que les Pures nous gardent des événements des prochaines années...

[Abygaël Ravenhill]

Camille écoutait et sourcilla à quelques moments. Elle attendu qu'il ait terminé de parler pour rétorquer :

- Mais est-ce normal que les services d'un... styliste ne coûte aussi cher? Est-ce normal aussi que les gens s'invitent à un mariage comme le vôtre pour y observer les "Hautes-gens" en grands habits?

Vous savez, chaque élément récolté sur les dépouilles des monstres sert à retourner à la communauté. Imaginez ce qu'il arriverait si je gardais tout pour moi, comme certain?

[Douglas Ravenhill]

- N'est-ce pas déjà le cas, Camille? Notre société à évolué, dans un mauvais sens certe, mais elle a évolué. Les gens se sont divisé autant sur la façon de traîté avec les occupants que sur le comportement des élites politiques du village. Les gens on vu qu'en sein même de leur maison, l'ennemis pouvait y être, ils ont donc adopté une stratégie de survie différente que celle d'autrefois...

Dampé ignorait complêtement pourquoi cette conversation  avait tournée sur une analyse social de Roenberg.

- Actuellement, c'est sûr que qu'en tu fait une fête en pleine aire comme cela, des curieux arrive, que tu sois des grandes familles ou non... Je suis sûr qu'on aurait retrouvé des membres des grandes familles à un petit mariage, juste pour regardez, profité de la nourriture et de la vu...

Dampé devient pensif, Camille avait un point par contre, la société c'était fracturé en classe. Est-ce pour le bien commun ou individuel, il ne le savait pas.

- C'est la course au pouvoir, Camille... Avec un Rosenval en moins et l'autre déposédé de son authorité absolue par le conseil et l'Imperator, l'union sacré du vilage n'existe plus que dans les livres d'histoire et les rêves de quelque idéaliste. Désormais, c'est un buffet à volonté, qui va pouvoir arraché le plus de pouvoir pour sa famille et imposé sa volonté? Va t'il le faire avec ou sans Fort-Céleste? Tant de question qui ne pourrons se répondre dans l'heures... Après tout, est-ce un jour pour cela?

Dampé se leva et reprit son chapeau qui se posa sur la tête.

-Je vais avoir besoin de vous pour les prochain mois, une institution ne se bâtie pas tous seul, voudriez vous faire partie de se projet pour le bien de tous?

[Abygaël Ravenhill]

Les paroles de Macabé étaient pleine de sens et source de plusieurs réponses. Camille écoutait ses paroles, essayait d'analyser.

- Effectivement, vu ainsi, vous avez tellement raison. Dommage que la famille Smith ne soit aussi fracturée, elle aurait pu avoir une plus grande part et garder un certain équilibre... Bien qu'on m'a raconté que certains de mes cousins ne sont pas faciles à vivre.

Mais sinon, que voulez-vous dire par besoin de moi? Je ne suis qu'une simple artificienne...

[Douglas Ravenhill]

- Un vieil ami pensait qu'il y avait un grand potentiel dans l'artificie... Un certain Rajik Narquin... Ne vous sous-estimez pas, plusieurs peuvent le faire à votre place...  

Dampé avait un immense respect pour son ancien collège, aujourd'hui mort. Ces théories l'alchimie et l'artificie sont facinante... Et bougrement pleine de potentiel.

- En plus, il me faut des inventeurs pour amélioré notre travail, le Crématorium est un bien étrange mécanisme aussi. Mon grand-père et son frère l'ont bâtie, mais mon grand-père n'est point en état de divulgué se genre de secret et mon grand-oncle lui, ne peut rien dire là où il est...

Mort.

- Intéressé par ma proposition?

[Abygaël Ravenhill]

Rajik, l'un des rares à avoir cru en elle, à avoir passé du temps à élaborer des choses, à discuter outre l'emploi avec elle.  Un ami, un homme bien.  Camille détourna le regard mais s'interdisait la larme qui voulait couler.  Un mécanisme ou un autre.  Le grand générateur, le crématorium, la porte; des plans, des idées, des alliages et de l'imagination...  Un nouveau projet, une nouvelle porte.  Ça ne devrait pas la tuer!  En parlant de mourir, Camille entama une quinte de toux creuse et douloureuse.  Enfouissant son visage dans un mouchoir, reprenant son souffle, elle offrit comme réponse :

- Oui, je sais que plusieurs peuvent prendre ma place...  Je ne suis qu'un pion dans ce village, je le sais, je l'ai toujours su.  Mais dites-moi, le crématorium, c'est la même chose que la porte, le générateur, les murs, le village, non?  C'est bien beau avoir des plans, il faut pouvoir les réaliser.  Avez-vous les appuis qu'il faut?

[Douglas Ravenhill]

- Il faudra bien que le conseil nous appuye s'ils veulent pas avoir des revenants qui se promène dans le village!

Dampé fit un grand rire sonore de plusieurs seconde.

- J'espère m'arangé avec mon cousin pour avoir un budget et des ressources, ne vous en faites absolument pas. Toute façon, le Crématorium doit être analysé et compris avant toute chose, il fonctionne encore bien et à plein régime, mais si il brise, là, on va avoir un sérieux problème, parce que les plan sont dans la tête d'un vieillard sénile et d'un mort...

Il prit une pause un petit instant, reprenant sont souffle.

- Pour tout se qui est inventions autre pour amélioré l'efficacité, je vais tenté d'utilisé mes compétence en alchimie pour financé vos inventions, nous verrons mieux en temps et lieux, une fois l'institution fondé et les support des familles gagné...

[Abygaël Ravenhill]

Le rire de Macabé glaça le sang de Camille. Des revenants, elle en avait croisé quelques uns, malgré que certains étaient encore bien vivant mais l'esprit ailleurs...

- Votre cousin? Mais oui, effectivement, Roenberg est à une ère où chaque machine qui a été créée selon les bons vouloirs de savants sans plans est en train de tomber en décrépitude... Justement, avez-vous eu des nouvelles si le réacteur a été remis en bon état?

[Douglas Ravenhill]

- Je ne peux vous l'assurez à 100% Camille, je suis loin d'être dans le secret... Mais il me semble qu'on la réparé... Du moins jusqu'à la fin de l'hiver... Sans les notes de Rajik, nous aurions eu l'air fou quand le froid glacial va s'abattre sur la région...

Dampé observa la foule, sa femme semblait s'être délivré de l'emprise de ses cousines.

- Je vous reparlerai une autre fois, mademoiselle Smith, une autre dame m'attend... Trouver donc un partenaire de dance et profité de la fête, je vous souhaite de vous amusé et pensé bien à mon offre, envoyé moi une lettre, au revoir, Camille Smith.

Il salua d'un coup de chapeau et s'éloigna pour rejoindre sa femme. Il la prit par la taille et dansa au rythme de la musique ambiante.

[Abygaël Ravenhill]

Effectivement, Camille avait volé un long moment au marié et pourtant, il y avait tant de choses à régler. Au pire, l'hiver sera long, les discussions faciles. Elle fit une courte révérence et parti rejoindre des cousins, laissant Dampé à ses festivités.

[Contenu sponsorisé]