Une nouvelle étape [RP libre]

[Benoit Lacombe]

Il faisait beau, bien qu'il faisait un peu froid, lors d'un après-midi à Roenberg. Morato Zeder s'était habillé davantage chaudement alors qu'il pouvait être vu en train de faire le même trajet en aller-retour. Il semblait généralement transporter des boîtes fermées de tailles et de dimensions parfois différentes.

[Douglas Ravenhill]

Alors que Zeder déplaçais ces boîtes, un courier l'aborda, vétue d'une capeline, d'une petite casquette et d'un manteau pour protégé du froid.

- M. Morato Zeder? Une lettre pour vous, postez tôt se matin, du Crématorium je crois...

Il donna la lettre au principale intéressé.

- Par contre, je me rappel pas connaître de Gastaf Macabre qui habite à la maison Macabé...

Sur la lettre, il y était écrit le nom de Gastaf.

[Benoit Lacombe]

Morato déposa sa boite et regarda dans la direction du messager, sans vraiment le regarder dans les yeux. Il fronça les sourcils lorsqu'il su que ça venait du Crématorium et les fronça encore plus quand le messager dit que ça venait d'un certain Gastaf. Son froncement de sourcil était dû à sa surprise, n'ayant absolument aucune idée de quoi il voulait lui parler. Il prit la lettre et fit un bref signe de remerciement au messager, incertain de l'intensité du remerciement qui était convenable vis-à-vis un messager.

Lorsque le messager serait parti, Morato ouvrirait la lettre pour en lire son contenu.

[Douglas Ravenhill]

La lettre avait l'air banal en apparence, par contre, quand Morato vu son contenu, on pouvais voir que l'écriture était différente de celle de Dampé, le texte écrit dedans est celui-ci.

Cher lézare

Tu dois bien te souvenir de moi? Gastaf? Celui qui a voulu te tué il y a de cela un mois environt? Surprise!

Je t'écris cette lettre après avoir trouvé une tactique presque sans faille pour prendre le control de Dampé sur une longue période, technique que j'aurais jamais pus dévellopé si notre ami commun n'aurait pas été en prison grâce à toi. Ce fut si facile de torturé l'esprit de Macabé, seul, isolé, désespéré, ronger par des remors pour se que j'ai fait... Presque mignion et vraiment trop facile. Domage qu'il se soit fait libéré sitôt, j'aurais voulu me perfectionné.

Mais par contre, je vois que toi et ta petite ami Saelig se sont mit dans la tête de le drogué à coup de calmant pour m'endormir. J'aurais pus passez cette affront, mais l'expédition pour la fleur-esprit était l'insulte suprême, vous voulliez vous débarrassé de moi? M'endormir pour toujours?

Hé bien, il n'y à pas que toi qui peux allez à l'étape supérieur!

Rejoin moi à l'Ossuaire, au première étage, tu as jusqu'à demain matin... Sinon... Une mort sera sur ta conscience.

Je te laisse deviné qui?

Gastaf Macabre

Les mots de Gastaf couché sur le papier était presque aussi vénéneux que ses paroles orals.

[Benoit Lacombe]

Lors de la lecture de la lettre, l'émotion neutre du semi Zanash passa vite à celle d'une rage, mais une rage bouillante. À la simple compréhension des insinuations de la deuxième personnalité de Dampé, Morato ressentit une fureur qu'il n'avait encore jamais connu auparavant. En oubliant complètement sa boîte pleine de vaisselle par terre et le visage d'un mauve violant, il partit à courir en direction de la maison où demeurait Ceidia avec Alexander et Kareen. Il ne s'arrêta qu'un coup rendu devant la porte, où il cogna. Il avait le visage d'une personne qui venait de courir, et les traces de sa colère étaient encore présentes, mais il tenta de se ressaisir assez pour qu'aucun des Narquin ne pense qu'il était fâché contre eux. Toutefois, son teint montrait encore qu'il y avait définitivement quelque chose qui clochait.

[Benoit Lacombe]

Après être passé chez Ceidia et que celle-ci lui a fait réaliser exactement la nature de la menace, Morato Zeder décida de s'en mêler lui-même, tel que le demandait Gastaf. En temps normal, il aurait demandé à la Vigie de s'en charger, car c'est la chose à faire lorsqu'une vie est menacée par une autre personne...

... mais c'était différent lors d'une menace de suicide.

C'est pourquoi il se rendit, seul, à l'Ossuaire, tard en soirée. Il tenta d'éviter le plus possible les conversations avec les gens qu'il croisait, non seulement parce que c'était une vieille habitude de sa part, mais aussi parce qu'il voulait se dépêcher.

Il ne savait pas quel serait son rôle. Il ne savait pas comment il pourrait convaincre Gastaf de ne pas anéantir Dampé. En fait, de son esprit pragmatique, il ne croyait nullement que ce ''Gastaf'' existait, et il ne croyait nullement qu'il était possible pour ce ''Gastaf'' de prendre possession du corps de Dampé pour toujours. Il allait toutefois essayer de s'ouvrir l'esprit le plus possible, simplement dans le but d'empêcher une tentative de suicide.

Il se rendit à l'endroit désigné par la lettre. Éclipse était à sa ceinture et quelques potions se trouvaient à l'intérieur de son manteau, gracieuseté de la dernière personne avec qui il avait parlé avant de se rendre ici.

[Douglas Ravenhill]

Gastaf Macabre avait attendu toute la journée ou presque. Lorsque Dampé c'était endormie, il en avait profité pour testé une méthode qui tente de faire marché pendant plusieurs mois, résultat, il avait réussit à prendre le contrôle sur une long période. C'était une sensation excise, la réussite.

La méthode nécessitait par contre des vérifications récurantes de Dampé, mais mise à part se bien menu détail, Gastaf était très satisfait.

Quand on peut la testé comme on le désir en prison, on a le temps de se perfectionné?

L'Ossuaire était faiblement éclairé par un réseau de lumière électrique, tamisé par les particules de cendre qui c'était fixé sur les ampoules. Les sols avaient une fine couche de cendre sauf au endroit où on pouvait observé une pile d'ossement et de cendre. Des urnes et des os était placé dans de petit caniveau sur chaque côté des couloires et dans des niches dans les murs. L'atmosphère y était oppressante, la mort était partout.

C'est dans cette atmosphère, que Gastaf trouvait charmante, Morato trouva son conjurateur. Le corp avait tout de Dampé, mais sans le chapeau et avec des yeux fous.

- Enfin, le conjuré se pointe... Cela fessait un bail Zeder...    

Gastaf sortie un pistolet, le pointant sur Morato.

- Pour quelqu'un qui vient voir un vieux copain, tu me semble drôlement armé lézard, si tu laissais ta méchante épée sur le sol pour avoir une petite discution civilisé?

Gastaf pouffa de rire, se trouvant très drôle.

- Gêne toi pas face à moi, après tout, je tient un pistolet... Bon ok... Je sais peut-être pas en tiré... Par contre, à quoi sa sert la pratique si on tire à bout portant?

Avec un large sourire dément, il pointa le pistolet vers la tempe de Dampé, fixant intensément Morato.

- Un seul mouvement que je considère hostile envers moi, se sera une balle dans la cervelle de Dampé. Se serai si domage que cette pauvre Sophie soit veuve après deux jours de mariage? Dépose ton arme maintenant...

--------------

Dampé était perdu dans la forêt sombre de son cauchemard, une seconde, il était avec sa femme, l'autre seconde, Gastaf arrive, enlevant Sophie et disparaissant, expédiant Dampé dans une forêt de nuit. Un long hurlement se fit entendre et Dampé se mit à courire pour sa vie.[/color]

[Benoit Lacombe]

L'Huldres ne regarda pas trop autour de lui à mesure qu'il avançait. Il trouvait sa vie déjà assez déprimante, il n'avait pas besoin de s'attarder à un environnement qui ne ferait qu'empirer son sentiment de déprime. Rien n'était beau, ici. Le jeune Zeder n'arrivait même pas à trouver beauté dans l'architecture de l'endroit, ou même le circuit de technomagie qui alimentait les lumières. Il avait hâte de sortir d'ici, mais il savait aussi que son opération serait probablement délicate. Se disant qu'il n'était vraiment pas la meilleure personne pour empêcher une tentative de suicide par la parole, il se rendit en face de Dampé. Il ne reconnut toutefois pas les yeux du sympathique crémateur.

Morato allait dire quelque chose alors que Gastaf pointa le pistolet vers lui. Il eut un bref haut-le-coeur alors qu'il réalisait tout de la scène; un fusil pointé sur lui, à une distance relativement éloignée. Une image lui traversa la tête, puis un cri, mais le cri était lointain. Il se mit à respirer un peu plus rapidement, visiblement mal à l'aise. Le genre d'émotion forte qu'un expert Cinétomancien ne devrait pas ressentir lorsqu'il se fait pointer un fusil vers lui. Toutefois, le malaise ne dépassa pas ce stade, le fusil étant assez loin et le porteur l'ayant vite tourné dans une autre direction; la sienne.

Éclipse se trouvait à la ceinture de Morato, et celui-ci comptait bien la laisser là. Il mit ses deux mains devant lui, incitant l'homme devant lui à se calmer.

- ''Elle ne bougera pas de ma ceinture, Macabé. Écoute, je suis prêt à écouter ce que tu as à me dire, n... n'appuie pas sur la gâchette.''

[Douglas Ravenhill]

Les yeux fous de Gataf s'éclaira par la rage qu'il ressentait.

Dire qu'il était Macabé, le comparer à Dampé, ce faible, ce sentimental...

- Je... Ne... Suis... Pas... Macabé!



Gastaf s'approcha de Morato, pointant le fusil sur sa propre tête. Assez près de lui, il charga sur se dernier le plaquant de toute ces forces sur un des murs, gardant son postolet sur la tête et l'armant, si Morato tente de se débattre avec trop de violence, il pourrait déclenché. Avec un sourire fou, il prit on ton de voix presque mielleux avec une pointe de haine.

- Écoute moi bien, lézard, tu es le responsable de tout ceci et c'est à toi d'aidé moi, Gastaf Macabre, pas Dampé, moi et moi seul. Je m'engagerai à ne pas emmerdé se cher Dampé et toi... Et je laisserai ta petite copine en dehors de toute cette histoire... Qu'est-ce que tu en dis?

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Dampé fuyait, son manteau était déchiré par les ronces, la Lune argenté éclairait cette forêt cauchemardesque. Dampé haletais, épuisé... Il tomba sur le sol, perdant son chapeau et se blessant à la jambe. Il sentait son sang coulé, comme trop réel, ainsi que les fauves qui se mettait à l'entouré.

Une lumière attira son attention dans les bois, une faible lueur, son énergie rétablie, il savait vers cette lueur, un espoire retrouvé...

Les fauves s'approchait.

[Benoit Lacombe]

Morato recula par réflexe alors que Gastaf s'approchait de lui avec le fusil toujours à sa propre tempte. Les yeux de l'Huldres s'agrandirent lorsqu'il vit le fusil s'approcher de lui, mais il garda son sang froid, voyant bien que Gastaf n'avait aucune intention de le pointer sur lui. Gastaf avait choisi les mots juste pour que Morato considère l'aider. Sa peau de Zanash bleu prit une teinte plus foncée aux mots qu'avait choisi Gastaf, se disant qu'il n'était pas le temps d'être pointilleux sur les détails. Ce qu'il souhaitait le plus dans tout ça, c'était que Ceidia ne soit pas impliquée avec un être aussi dangereux que Gastaf. Il acquiesça d'un signe de tête.

- ''Oui... ça me convient. Je t'écoute.''

Il se demandait vraiment ce que voudrait Gastaf. Il ne savait même pas si, au final, il allait le faire. Tout ce qu'il savait, c'était que là, sur le moment, il devait acquiescer, au cas où il mettrait ses menaces à terme.

[Douglas Ravenhill]

- Bon Morato, gentil lézard... Finalement, on écoute la voix de la raison... Ou bien cell de la folie!

Un large sourire dément se dessina sur le visage de Gastaf, suivie d'un rire fou qui résonna à travers toute l'Ossuaire. Il reprit un peu de sérieux, désarma son pistolet et le garda le long de son corps.

- Je sens qu'on va bien s'entendre... Mon ami...

Il laissa un peu d'espace à Morato pour bouger. Il leva un doigt en l'air.

- Premièrement, je veux que toi et ta petite copine cessez de drogué mon hôte... Ça m'emmerde au plus haut point de ne pas pouvoir rien faire à cause de toute les cochonerie qu'il absorbe. Si tu t'occupe de ça, Dampé n'aura rien à craindre de moi...

Il leva un second doigts.

- Ensuite, je veux que tu t'assure qu'aucune manoeuvre soit faite pour me débarrasse de moi. Je me ferais tranquille, il n'y aura donc aucune raison que des actions soit fait contre moi... Non?  

Son sourire s'étira un peu plus, il leva un troisième doigts.

- Finalement, je veux que tu me trouve un corps, vide de préférence, dont je pourrai être transféré, se n'est plus vrai que je vais devoir disputé chaque fois le contrôle du corps à Dampé...

Gastaf prit un crâne qui traînait, ainsi qu'un couteau, il fit un signe dessus le crâne et le présenta à Morato.

- Quand tu vas avoir terminé, présente se crâne à Dampé, je prendai sa place et on terminera tous cela...

Une fois le crâne entre les mains de Morato, Gastaf prit le collet de Morato et l'approcha prêt de son visage.

- Si jamais, je vais à apprnedre que tu travail dans mon dos et contre moi... Je m'assurai de testé la résistance à la douleur de Ceidia...

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Dampé courrait vers la lumière, comme un papillion de nuit attiré vers une lanterne. Lorsqu'un loup lui fonça dessus, il disparu. Dampé ne regardait rien d'autre que la lumière.

Alors qu'il s'approchait, la lumière prit une forme féminine qu'il connaissait... Sophie...

La lumière se mit à courir.

- Attend moi!

Il pourchassa la lumière esquivant les branche, il se mit à entendre sa voix.

Suit moi...
Tu y es presque...

Presque de quoi?

La lumière disparu dans une clairière, avec en son centre une petite maison, il entrant dans la maison.

Il y avait qu'un seul meuble, un lit, couché dessus, lui même. La voix de Sophie résonna encore une fois.

Réveille toi... Réveille toi Dampé...

Se réveillié? Comment?

Réveille le...

Il commença à secoué le Dampé dans le lit, il le secouait fort, de plus en plus fort...

[Benoit Lacombe]

Morato se sentit légèrement plus confortable un coup que Gastaf lui avait laissé plus d'espace, mais il n'en demeurait pas moins perturbé. Son cerveau réfléchissait à la vitesse de la lumière, alors que Gastaf lui faisait part de ses revendications. Morato regarda rapidement ses alentours sans vraiment détourner son regard de Gastaf. Se rappelant qu'il ne connaissait pas vraiment cet endroit, contrairement à Gastaf, il se dit que tenter de fuir après lui avoir exprimé son refus serait une mauvaise idée. Morato ne pouvait moralement pas être d'accord avec les revendications du psychopathe. Il avait aussi un très grand doute quant à sa volonté de se tenir tranquille. Morato acquiesça toutefois d'un signe de tête, tentant de mentir de façon acceptable, chose qu'il ne faisait pratiquement jamais, sauf dans ce genre de situation de vie ou de mort. Par chance pour lui, son incertitude dans son mensonge pouvait facilement passer pour son hésitation normale lorsqu'il parlait avec quelqu'un avec qui il n'était pas à l'aise.

- ''Je... Je ne sais pas trop comment faire, mais... je vais faire de mon mieux. Je vais trouver.''

Il prit le crâne que lui tendait Gastaf, le regardant un moment, comme pour y trouver un indice sur les prochaines actions qu'il devrait entreprendre. Lorsqu'il mentionna qu'il planifiait torturer Ceidia s'il faisait un faux mouvement, la colère monta au visage de Morato, mais il se contrôla. Il attendit que Gastaf défasse lui-même son emprise sur son collet. Il se sentait mal de ne rien faire contre un homme qui était clairement un psychopathe et un danger pour le village, mais il ne pouvait risquer que Ceidia souffre. Il devrait trouver une solution.

[Douglas Ravenhill]

- Bien... Mon jolie lézard... Très bien...

Il laissa à Morato à nouveau de l'espace. Il entreprit un rire qu'on pourrait presque qualifié de diabolique et sonore, rebondissant et fessant écho à travers tous l'Ossuaire. Gastaf ne se douta aucunement du mensonge de Morato, après tous, c'est un lézard très intelligent non?

Il reprit un certain sérieux, un mal de crâne le prit. Il se couvra le front de sa main, s'éloignant et se mettant à dos de Morato.

C'est pas vrai... Il reprend le dessus...

Gastaf eu un petit moment d'absence où il vérifia Dampé.

Il va se réveillié bon sang de bon soir... Improvise Gastaf...

Gastaf se retourna vers Morato, un sourire carnassier au lèvre.

- Cette mauviette de Dampé semble vouloir reprendre sa place, comme c'est triste, je m'y habituais presque...  

Gastaf s'approcha de Morato, murmurant à son oreille.

- Pas un simple mot, pas un seul mouvement trahisant cette conversation... Si Dampé vennait à être au courant... Je le serai... Et bien sûr, je te ferais rappellé ta grossière erreur... À passant... Je te conseillerai pas d'envoyé se pauvre Dampé en prison ou à l'Asyle, notre ami serai si seul et triste... Avec moi comme seul compagnie...

Il se remit à rire une fois éloigné de Morato encore, et puis, d'un seul coup, son corps fut prit de spasme, la vision de Gastaf se brouillia et tous devient noir.

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Dampé, à force de secoué le Dampé de son lit...

Se réveilla, dans l'Ossuaire...

Avec Morato.

Prit de faiblesse, ces jambes le laissèrent tombé sur le sol poussièreux, il était secoué de spasme violent qui le fit vomir le contenu de son estomac. Par les Pures, que venait-il de vivre.

Il essaya de trouvé une explication rationnelle et logique, mais il ne savait pas oui cherché, la panique le gagna très rapidement, étant complètement déboussolé, ignorant toute raison de sa présence dans se lieux pas très joyeux et sinistre, l'heure, la date, la raison pourquoi Morato était là.

Dampé se rappella du rêve... Sophie... Toujours prit de panique, il se mit à appellé cette dernière d'une voix étouffé.

- Sophie?... Où es-tu Sophie? Par les Pures, dit moi qu'il t'a rien fait...

[Benoit Lacombe]

Toujours furieux des menaces qu'avait proféré Gastaf envers Ceidia Narquin, Morato le regardait, mais pas directement dans les yeux, souhaitant lui parler le moins possible de peur de ne pouvoir contrôler ses émotions face à lui.

Lorsqu'il comprit que Dampé était petit à petit en train de reprendre conscience dans son propre corps, les muscles de Morato tantôt crispés par le stress de la situation se détendirent légèrement. Voyant que Dampé était sur le point de revenir à lui, Morato s'empressa de mettre le crâne que venait de lui donner Gastaf dans son sac, pour pas que Dampé pose de question par rapport à cela. Il ne savait pas encore comment il devrait agir avec lui et avant de faire des choix et des actions vis-à-vis cela, il avait besoin de temps pour réfléchir... de beaucoup de temps. Il se dit qu'il allait tenter de penser à un mensonge crédible, mais il eut une sueur en y pensant. L'idée de mentir et de devoir être crédible dans son mensonge le rendait anxieux au plus haut point, puisqu'il était très peu confiant en ses capacités sociales.

Lorsque Dampé revint à lui et dit chercher Sophie, Morato ne répondit pas tout de suite, ne voulant pas le brusquer. Il commença doucement à lui répondre.

- ''Euh... Sophie n'est pas ici, Dampé...''

[Douglas Ravenhill]

Dampé été inquiet et désorienté, il savait pas se qui lui est arrivé, il avait peur pour sa femme...

Il avait peur de se qui a bien pus se passez dans se macabre lieux.

Dampé reprit un peu de son calme, inspirant, expirant, relachant toute pensé négative. Il avait perdu se filtre, se contrôle qui avait autrefois sur ces émotions, tout à commencé depuis sa maladie et ces hallucinations.

Une fois que se passage émotionnelle fut passez, il se releva, son regard se porta sur Morato, un intru en ce lieux et seul témoin de se qui a bien pus l'amené ici. Son ton était grave et déterminé

- Morato... Je veux une réponse des plus franche, pourquoi suis-je ici? Pourquoi es-tu l'as ici? Que nous est-il arrivé? Et je veux savoir si ma femme va bien .

[Benoit Lacombe]

Morato haussa les épaules. Il se sentait mieux en disant la vérité mais en omettant des informations qu'en mentant pur et dur. Il était un peu honteux de mentir et ça paraissait dans son visage qu'il n'était pas très à l'aise, mais, par chance, ça marchait bien avec ce qu'il disait.

- ''Gastaf m'a emmené ici... et m'a menacé... comme la dernière fois. Tu as réussi à reprendre sa place avant qu'il se passe quoi que ce soit de violent, alors... tu as pas à t'inquiéter.

Je... ne sais pas pour Sophie... peut-être devrais-tu aller la voir le plus tôt possible, au cas où?''

[Douglas Ravenhill]

Gastaf...

Il aurait du s'en douté...

Mais comment a-t-il fait?

Peut-être qu'il a fait comme avec son journal... Par les Pures, il va devoir trouvé un moyen de s'en débarrassé au plus vite...

Je t'entend pensé, crétin... Croit se que tu veux, mais je suis là pour resté mon cher...

Qu'est-ce que tu as fait à Sophie, salaud?

Gastaf répondit le plus sincèrement dans sa tête.

Rien, mise à part te voler quelques heures...

Dampé voulait en avoir le coeur nette.

- Sortons d'ici, nous verrons pour le reste plus tard...

[Benoit Lacombe]

Le Précurseur suivit Dampé à l'extérieur, toujours incertain de ce qu'il allait faire par rapport à lui.

[Douglas Ravenhill]

À la sortie, Dampé scruta la maison Macabé, au loin, à la recherche d'une ombre familière. Mais ayant point des yeux d'aigle, il ne vit rien dans cette nuit noir d'encre.

Qu'allait-il arrivé désormais?

- Je t'en supplie Morato... Quoi qui est arrivé dans l'Ossuaire, quoi qui a bien pu se passez ou se dire... Si tu as moindrement de la compassion, s.v.p... Ne m'envoye pas à l'Asyle ou bien prison, ne me laisse pas seul avec lui et ne fait pas que ma femme se retrouve seul après deux jours de mariage...

C'était la seul chose qui pouvait faire, essayé d'évité que Gastaf le reconduise dans une cellule pour le restant de ces jours ou bien en camisole de force...

[Benoit Lacombe]

Morato prit un certain temps avant de répondre à Dampé, tentant de peser ses mots pour ne pas trop réveiller celui qui sommeillait à l'intérieur du Crémateur.

- ''Assure-toi qu'il... ne fasse de mal à... personne. Mon devoir de citoyen serait de le rapporter aux autorités aussitôt que je te vois devenir dangereux.''

[Douglas Ravenhill]

Dampé ne pouvais promettre rien, Gastaf était une sorte de créature, imprévisible et psychopate dont il ne pouvait toléré personnellement la présence et fesait à sa guise... Mais Morato le savait-il?

- Je vais essayé de le gardez sous contrôle... J'ai... Je vais retournez chez moi, voir si tout va bien.

Au fait... Merci...

Pourquoi il a dit merci? Bonne question...

Dampé se mit à marché vers la maison Macabé pour voir si tous allait bien. Une réponse qui allait être positive dès qu'il aurait franchis les portes.

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