Confrontation (Rp avec Trixi)

[Douglas Ravenhill]

Douglas, le docteur au bouton, étsait une personne qui haïssait qu'on remette en question ces méthodes de traitement. Il haïssait ces esprits faibles qui voulait démontrez de la supériorité sur son génie et encore plus quand cette personne n'a pas les moindres notions théoriques et académique pour le faire.

Lorsque pendants une soirée, Trixi l'avait confronté sur le sujet du traitement de Sissi, il l'avait mal prit, le gardant sur le cœur et tenta de passez par dessus, mais même une tasse de thé et mille et in autres problèmes l'avais pas fait oubliez cette affront à son génie.

Il se pointa à l'auberge de chez Trixi, son bouton créa un malaise qui réduit quasiment à silence l'endroit. Bien à vu, le nouvelle attribue facial inspirait dégoût et peur... Mais Douglas misait sur le fait que d'ici une semaine ou deux, peut-être trois, ce bouton sera aussi normal que le reste de lui même. La psychologie lui avait apprit qu'à force d'exposition, un élément ou événement devenait banal.

Mais qu'importe... D'une bonne voix mais qui n'inspirait rien de très amical, il envoya à l'aubergiste:

- Madame Mantis, pourrions-nous parlez en privé s.v.p?

[Trixi Mathis]

Trixi qui venait de terminer de servir un client leva les yeux vers le docteur.

- Je crois que vous devez d'abord apprendre à prononcer mon nom convenablement, Docteur Ravenhill.

Son ton n'était qu'un pâle copie de l'homme, mais on pouvait bien voir que malgré sa jovialité habituelle, Trixi était capable de faire preuve de froideur. Laissant Ravenhill à cette réflexion, elle partit ranger la bouilloire et revint un instant plus tard, s'installant derrière le comptoir.

[Douglas Ravenhill]

Ses yeux (pardon, son oeil) roula d'agacement. La confrontation tant souhaité par le docteur commençait déjà avec lui de fessant taper dessus pour son parlé. Déjà bien mieux que celui de sa sœur, il arrivait, quand énervé, reviennent.

-By Jove... Si vous avez en plus l'intention de vous moquez de mon parlez, fesons le après le tea time miss Mathis... Vous venez me parlez en privé ou pas?

[Trixi Mathis]

Trixi sourit légèrement amusée. Si pour lui ce simple commentaire était une moquerie, cette discussion serait sans doute interminable.

- Il s'agit d'une question de respect, docteur.

Elle prit une pause, regarda le reste de l'auberge, puis décida qu'il était mieux de leur épargner la vue du bouton.

- Mais bien sûr, allons dans la salle du fond.

Puis sans attendre une réponse, elle s'y dirigea doucement et y prit un siège.

[Douglas Ravenhill]

Une question de respect? Si elle lui en donnerai un peu, on verra ensuite...

Il suivie l'aubergiste, non sans pas envoyé un regard vers le restant de l'établissement.

Une fois dans la salle, il referma la porte et ne prit pas de siège, il avait l'intention d'imposé son point de vu et domination sur cette aubergiste assez rapidement... Du moins, c'était le plan...

- Je n'irais pas par quatre chemin madame Mathis, je vous le demanderai pas 50 fois non plus, je veux que vous ne parlez plus jamais à Sissi. Vous ne la fréquenté plus, lui donné aucun conseil ou qu'importe... Si elle vous parle en premier, ignoré là où demandé lui de quitté votre établissement. Est-ce que j'ai été claire ou pas?

[Trixi Mathis]

Trixi écouta le discours de Ravenhill en levant un sourcil. Puis lorsqu'il eut fini, elle se leva et fit un bas vers la porte.

- Très clair, Docteur, j'imagine que ça sera tout?

[Douglas Ravenhill]

Le docteur avait vu la tentative de fuite de son interlocutrice, elle le croyait stupide ou qu'il avait perdu son talent d'observateur? Il la prit par le bras et la ramena vers un mur, la mettant face à lui.

- Hey... Ce n'est pas terminé... Vous croyez que j'ai finit?

Il la gardait prisonnière d'une forte poigne, mais qui fessait pas mal, juste une poigne dont Trixi ne serai se tiré facilement.

- Je vois que c'est clair... Mais vous devez me croire idiot pour dire que je vais me satisfaire d'une tel réponse... Vous pourriez me comprendre et m'envoyé au diable juste après... Donc je veux un engagement clair que vous ferez se que j'ai dit...

[Trixi Mathis]

- Vous croyez rentrer chez moi comme ça et me faire faire ce que vous voulez, vous avez un plus grand problème que je pensais, docteur.

Elle baissa le regard vers sa poigne un moment, puis le releva vers lui.

- Je vous conseillerai de me lâcher, si vous croyez m'intimider, vous vous trompez.

Elle aurait très bien pu se défaire de la poigne de l'homme, car les Purs savent qu'il y a plusieurs bon moyen de se débarrasser d'un homme, mais elle le laissa profiter de sa "supériorité".

- Le seul engagement que j'ai envers vous, Docteur, c'est de vous offrir un service convenable et cordiale quand vous ne tentez pas d'imposer votre loi dans mon auberge. Si vous avez besoin de rester en contrôle, je n'ai aucun problème avec ça, mais retourner le faire dans votre asile.

[Douglas Ravenhill]

Son visage était colérique et pas celui de quelqu'un avec qui négocier. Avec son autre main, il se saisi de la clavicule de Trixi pour la gardé sous son emprise, serrant de façon assez juste pour faire mal, mais pas trop. Il ressera sa poigne. Il approcha son visage.

- Tous se qui touche à ma patiente doit-être contrôlé, miss Mathis... Et il semble qu'elle a trouvé en vous la mauvaise influence qui serai prêt à anéantir trois ans de travail sur elle... Je l'ai reconstruite et je laisserai personne me la ravir...

Il murmura à l'oreille.

- Elle m'a tout dit vous savez? Ne jouez pas l'innocente avec moi... Dire que son rêve était le siens, la poussez à mentir et à me cachez des choses... Vous croyez qu'elle allait gardé sa pour elle? Grossière erreur...

[Trixi Mathis]

Trixi serra les dents.

- Si elle doit être contrôlée, pourquoi l'avoir sorti de l'asile? Je crois que vous ne comprenez pas que les humains ne sont pas comme des chiens, docteur. Un jour ou l'autre vous devrez la laisser partir, comme chaque parent avec son enfant.

Elle prit une pause et s'approcha à son tour.

- Maintenant, je crois que vous ne m'avez pas très bien compris, Docteur. Lâchez-moi et peut-être que nous oublierons cet histoire.

[Douglas Ravenhill]

Les esprits sont si fascinant... Tant à la recherche de liberté et d'indépendance alors qu'il est si simple de se laissé contrôlé par les meilleurs...

- Il y a très peu de différence entre les chiens et les hommes miss... Tout deux peuvent être domestiqué... Je serais curieux de voir les effets sur vous...

Il sourie. Son sourire était laid, causé par ce bouton qui orne son oeil gauche. Il relâcha la pression et finalement son entrainte...

- Quand t-as mes actions, ils ne sont pas à vous de questionnez... Maintenant, allez-vous de nouveau tentez de vous mêlez de ce qui vous regarde pas?

[Trixi Mathis]

Trixi sourit à son tour, son sourire était beaucoup plus amusée cette fois-ci.

- Tous les jours de ma vie, Docteur.

L'aubergiste prit un moment, où son sourire disparu et fut remplacer par un regard plus sérieux.

- Une dernière chose, Biscuit... Ne faites plus jamais ça.

Puis sans le prévenir, elle leva violemment son genou, du côté de l'angle mort du docteur, celui-ci rencontra violemment l'entre-jambe de l'homme. Après quoi la Saelig se dirigea vers la sortie. Et vers le comptoir.

[Douglas Ravenhill]

Il vu jamais le coup venir, juste la douleur qui poussa le réflexe de plaçé ces mains à la la position de la douleur...

Une larme coula sur sa joue droite... Autant pour cette horrible sobriquet et pour le coup entre ces jambes.

Enragé, il sortie de la salle, criant après l'aubergiste.

- Vous allez regrettez vos paroles un jours Trixi!!! This godamn sorbriquet fait pas de moi une pâtisserie!!!

Il quitta l'établissement, poussant au passage un client.

[Eva Gilmore]

Eva Gilmore était assise à une table avec quelques connaissances lorsque le Biscuit sorti en trombe de l'auberge. Déconcertée, la Veilleur profita du fait que sa chope avait besoin d'être remplie pour approcher Trixi.


-Qu'est-ce qu'il a encore ce type? Il est incapable de se faire discret celui là...


Puis, elle aperçu une marque rouge près des clavicules de l'aubergiste. Eva fronça les sourcils.



-Ouch, c'est lui qui a fait ça ou bien...?


Eva gardait un air détaché, pas entièrement réussi.

[Trixi Mathis]

Trixi passa une main sur la peau sensible de sa clavicule. Si elle n'avait pas eu la peau sensible de base, cela n'aurait sans doute pas laissé de marque.

- Ouais c'est lui, mais il a eu ce qu'il méritait en échange.

L'aubergiste apporta à boire à Eva.

- À passer tout son temps à l'asile, je crois qu'il est devenu fou lui aussi.

[Eva Gilmore]

Eva eu l'air amusée lorsque Trixi lui répondit. Bien sur qu'elle ne s'étsit pas laissée faire.


-Faut croire, ouais. Pourtant sa soeur est plutôt bien.


Elle paya son verre, mais ne s'éloigna pas, préférant s'accouder au comptoir.


- Qu'est-ce qui se passe dans la vie de ce cher Biscuit pour qu'il soit dans une rogne pareil aujourd'hui?


Ses comparses pouvaient bien attendre un peu.

[Trixi Mathis]

Trixi s'installa sur un tabouret de l'autre côté du comptoir.

- Il ne peut pas assez étendre son contrôle et sa domination sur le monde.

Il y avait une pointe de moquerie dans la voix de Trixi.

- Sortir de l'asile c'est difficile pour le pauvre docteur.

[Gregory Kazarez]

-Je ne peux pas dire le prendre en pitié, madame.

Kazarez apparut dans l'embrasure de la porte, appuyée contre celui ci les bras croisée.

-vous pose t'il problème?

[Eva Gilmore]

Eva tourna la tête vers le nouveau venu et, reconnaissant la figure de Greg, leva son verre en sa direction.


- À voir la façon dont il est sorti, je crois qu'elle gère.


Elle lança un clin d'oeil dans la direction de Trixi avant de prendre une gorgée de son verre.

[Trixi Mathis]

Trixi eut un sourire en coin.

- Je l'ai très bien prévenu qu'on ne s'en prenait pas à moi dans mon établissement. Il n'aura que ce qu'il mérite.

Elle passa inconsciemment la main sur le tatou de son avant-bras avant de reprendre.

- C'est comme si j'allais chez lui et que je lui imposais ma façon de faire. Ça ne marche pas comme ça. Quelqu'un devrait lui apprendre à s'adapter socialement.

[Gregory Kazarez]

Greg ria.
-bien d'accord. Est vu la façon dont il marchait, je suppose que vous avez pulvériser son étirage familial.
Mais si jamais il advenait a posée trop de problem, m'esiter pas à m'appeler. Je l'everait parler au rat et Filio Zazz.

"Si se n'est pas la même chose" il le dit tout vas bien sure, mais il en ria tout de même.

[Trixi Mathis]

L'aubergiste laissa s'échapper un petit rire.

- De toute façon, je plains la pauvre fille qui devra marier ce type!

Puis se replaçant sur son banc, elle reprit un peu de sérieux.

- On s'arrangera pour qu'il ne cause plus de problème ici.

[Gregory Kazarez]

Greg aucha la tête.
-Content de l'entendre. Mais quand même, sachez que je suis prêt à aider. Surtout quand il s'agit de voir biscuit se fair boter les fesse par notre charmante aubergiste.

Greg ria de plus bell.

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