nouvelle conseillère au village, toute les rumeurs ici!

[Gab beaudry]

En cette soirée, une nouvelle retentis, dans l'auberge et aux murs. Au travers des portes du village, on entendais une rumeur, un murmure.

''Popov a donné son siège. Adélaïde Aubert prend sa place, et sous son entière bénédiction. c'est avec sourire qu'il l'a dit lui même, je vous le dit, je l'ai entendu! il avais l'air d'un père, fier comme un coq, de nous dire qu'il avais trouvée celle qui donnera vitalité et vie a nous, concitoyens, et a Roenberg.

il nous implore de lui faire confiance, et ma foi, jamais Popov ne nous as menti, je ne voit pas pourquoi il commencerais maintenant!

et de toute façon, vous savez ce qu'on dit des Aubert, non? impossible d'être plus droit! elle ne pourrais pas nous trahir!''

une voix féminine, souvent, répondais à la précédente:

''Et une femme, enfin! nous seront représentées, nous aussi''

ou bien un vieillard, d'une voix tremblante:

''il fais bien, le Joachim, il n'étais plus tout a fait jeune, et il a d'autre tâches a faire, pauvre homme!''


de manière générale, Popov, et sa bonne humeur contagieuse, avais donné un nouvel espoir, en ces temps sombre, Au beau village de Roenberg.

H.J.: Je vous annonce donc officiellement la démission de Popov du conseil. après de belle discutions, il a décidé de donné son siège a Adélaïde Aubert. Merci d'avoir joué avec moi dans ce rôle unique, et merveilleux. Au plaisir de vous voir avec Adam, nous sauront nous amuser!

[Douglas Ravenhill]

Absolom Nadjar, le fils d'Ishmaël le haut-prêtre, fut choqué que le poste de gardien de la moral est changé de mains sans la moindre consultation, surtout, que se siège fut donné à une femme! Comme il se l'imagina sans problème, cette gardienne de la moral devait encore n'être qu'une pragmatique avec autant d'expérience avec les textes religieux que lui avec le fonctionnement des huldres.

Cela, en gros, voulait simplement dire qu'il croyait sans mal qu'elle ne connaissait ces Saintes Paroles au minimum avec à côté peu de pratique.

Absolom se mit à préché dans sa robe rouge, portant les armes des trois Pures, le triangle, dans son dos. Accompagné par deux Khan qui se chargeait de le suivre et de surtout évité qu'il se fasse tué, Absolom se mit à vociféré sur la place Central, dénonçant le piètre choix de candidat, une masse s'agglutina autour d'Absolom, perché sur des caisse de bois.

- Comment est-ce que possible que cette, Adélaïde Aubert, cette femme avec, je suis sûr, aucune expérience dans le domaine religieux, peut-elle devenir la voix des Pures en sein du conseil? Comment ce fait-il que nous, les fervents et les croyants de Tel-Aviv furent en aucun cas consulté? Notre dévotion et des plus exemplaire, nous connaissons nos Saintes Paroles, gravé dans nos coeurs, ainsi que bien d'autre texte tout aussi sacrée! Notre devoir fut sacré la d'où on vient, nous sommes et serons bien plus qualifié que n'importe lequel des candidats! C'est un affront aux Pures! Seul un homme qui fut élevé dans la plus grande des piétés et dans la voie des Pures devrait et devra prendre le poste...

Sa prêche finissa sur un brouha brouha et Absolom laissa donc la populace pragmatique de Roenberg de choisir si c'était la bonne décision.

[Fodzi]

Jean-Guy Gilmore, étant à l'auberge à tracer des symboles sur le comptoir, se leva tranquillement à l'annonce de la démission de Popov. Il se commanda un autre verre alors que Nadjar prit la parole à voix haute. Faisant mine de s'adresser à Trixi, il s'exclama à haute voix.

-Eille, y'en a qui se sentent effrontés pas mal à soir. Du monde ingrat de même on aurait aussi b'en pu les laisser crever à ' porte.

Il se retourna pour faire face aux clients de l'auberge et fixa Absolom dans les yeux.

-Fait combien d'années que tu vis icitte le grand? Ah oui, un bon trois mois peut-être. Faque je te voyes jouer à l'analyste des coutumes du village. Si Popov dit que Adélaïde doit avoir le poste, y'a pas qui que ce soit ici qui a le droit de douter. Doute de c'te décision, p'is tu doutes du vieux Popov, le gars à qui toué p'is le reste de ta clique doivent le fait de pas être un paquet d'os sur le bord de la muraille.

Jean-Guy pris une grande gorgée de sa bière avant de terminer.

-Faque penses y deux minutes.

Puis il retourna à ses symboles.

Il adorait quand les gens du conseil lui en devaient une.

[Joel]

Un des Khan qui accompagna Absolom n’apprécia pas trop le brouhaha que le fils du haut prêtre de Tel-aviv décida de causer et prit les chose en main et fit sortir le jeune Nadjar

En direction vers la sortit avec Absolom le Khan lui dit quelque chose tout bas au niveaux de ces oreil

-Ton père ma très bien avertis de ne pas te laisser causer ce genre de scène

[Douglas Ravenhill]

Absolom fusilla du regard cette impertinent personnage qui venait de lui adressé la parole, son regard perçan était accentué par sa barbe et ces cornes. Il rougisa de colère face à cette homme.

Alors qu'il allait reprendre la parole face à cette impertinent personnage, le Khan le fit sortir avant même de prendre la parole.

Absolom se mit à s'enragé face au Khan.

- Cette homme m'a insulté et à insulté par la suite chacun des membre de notre peuple, j'allais l'avoir... Tu le sais fort bien que les gens reste pas très longtemps en désaccord avec un Nadjar! La moral doit être gardé par un religieux, pas la première personne du bord! Ce village doit savoir... Toute façon, c'est comme cela à toute mes prêche depuis que j'ai 15 ans.

Il en était pas à sa première, ni sa dernière, préchant une vision fort orthodoxe de la religion, il n'a pas fait que des heureux à Tel-Aviv, mais une petite accusation d'hérésie ou une discution avec son père convainquait les plus hostiné.

[Joel]

Le Khan resta silencieux lui laissa le temps de bien finir sa crise

- Ta fini?... Retourne au manoir...

Il garda ces réponse courte sans trop d'émotion... Limite blaser

[Douglas Ravenhill]

Si ce gars n'êtait pas mit à sa protection, il l'aurait accusé d'hérésie avant de l'étranglé.

Mais bon, un Khan est un Khan, les gardes du Temple n'en ont régulièrement rien à cirée de ses vociférations.

Absolom, retourna au manoir, par contre il s'égara plus ou moins volontairement, prenant une rue à droite à la place d'à gauche, toujours suivie de prêt par Khan, mais en avant d'eux. Il vociférait encore et toujours en le fessant le plus fort possible tout en restant comme si c'était pas voulu. Il se plaignait pendant tout le trajet du comportement dont il fut victime ainsi que de l'erreur de Popov. Le chemin qu'ils prirent allongea le trajet d'un bon 15 minute. Il arriva au manoir où il avait la plus ferme attention de protesté également à lui de la decision prise.

[Joel]

Le Khan ne dit pas un mots du trajet une fois rendu au manoir il ce mit du cote de la porte et resta la immobile

-Rentre.....


(Si on continue faudrait avoir une section quelque chose)

[Elijah Vanheim]

Il aurait été très faux de dire qu’il passait là une bonne soirée. Toutes les soirées à Roenberg étaient d’une lourdeur pénible. Depuis qu’il avait eu la chance –ou le malheur- d’être nommé conseiller, il lui était impossible de tenir la porte avec les veilleurs, et il avait été relayé à la froideur triste de l’Académie, et de son bureau à la Magistrature.

Peu reluisant, pour un homme comme lui, qui n’avait avant jamais eu le fardeau de tenir la plume, et qui aujourd’hui, ne vivait plus que pour cette plume.
Rien n’est plus lourd entre les mains du Magistrat, que l’instrument de son pouvoir. À côté, sa lame et même son pistolet semblaient bien légers.

Comme chaque soir, il avait décidé de clore sa journée de travail à l’heure sainte de 8h30, comme en avait la coutume le Magistrat Rosenwald. Et comme il s’ennuyait lorsqu’il ne travaillait pas, il déambula longtemps dans les rues de la ville, évitant soigneusement l’allée du meurtre.

Puis finalement, il échoua à la taverne, presque malgré lui, assis face à Trixi avec son éternel sourire désolé, comme si sa seule présence était un affront au reste du village qu’il comprenait fort bien, mais qu’il portait faute de pouvoir être ailleurs. Il savait qu’il n’avait pas d’humour, ni d’entre-gens, et il savait que cela nuisait à la fête. Que là où il allait, il finissait toujours par plomber la soirée.

Il eut donc un long soupire, jouant d’une main distraite avec l’alcool qui était devant lui, sans toutefois y toucher, jusqu’à ce que toute la scène se déroule sous ses yeux clignotants et abasourdis. S’il eut d’abord une réserve bien palpable à l’annonce de la retraite du pauvre Popov, il prit parti de ne rien dire, puisque déjà, l’assemblée s’enflammait, et l’immigration sentait le besoin de faire savoir son opinion de la chose.

À la fin de l’entièreté de l’altercation, il eut un sourire las pour Trixi, un sourire encore bien plus las pour le Gilmore, qui ne le vis sûrement même pas, puis finalement un sourire las pour lui-même, si la chose eut seulement été possible.

Lorsqu’on lui demanda à la dérobée ce qu’il en pensait, il ne répondit pas. Lorsqu’on lui demanda s’il allait commenter la chose dans l’avenir, il ne commenta pas. Mais d'aucuns connaissaient l’inimitié naissante entre Adélaïde Aubert et le Magistrat, et plusieurs racontaient avec plaisir leur échauffourée publique du banquet.

Le seul commentaire qu’il ne fit jamais ce soir là à ce sujet fut au moment de son départ, le regard dans le vague, alors qu’il parlait assurément davantage pour lui-même que pour quiconque d’autre (tous ceux qui connaissaient le Magistrat ne s’en formalisaient même plus).

-La force d’une chaîne se calcule à son maillon le plus faible.

Devisa-t-il. Et dès lors, disaient certains, la table était mise pour une prochaine session du conseil hostile à souhait.

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