La malédiction

par Douglas Ravenhill Jeu 6 Aoû - 1:27

Dampé était à une table dans le fond de l'auberge, accoté à son dossier de chaise. Son front était perlé de sueur, son visage était cerné et ces épaules complètement relaché. Il n'avait pas eu une nuit de sommeil depuis au moins trois jours. Son sommeil est perturbé par un visage. Le visage d'une saelig de 18 ans, les cheveux en bataille, les lèvre bleuté par le manque d'oxygène, le cou penché d'un côté, les yeux vitreux, la peau aussi pâle que la mort en personne et du sang sur le coin des lèvres.

Pourquoi sa client, dont la famille n'est pas pressé pour deux fragments de faire les funérailles, l'obsédait autant? Bonne question, Dampé aimerai bien le savoir. Depuis quelques temps, sa fièvre n'aidant pas, le visage apparaissait trop souvent à son goût. Il ignorait si c'était un spectre ou la machination de son esprit, mais il savait une choses, c'est qu'il n'allait pas bien.

La fièvre est apparu du jour au lendemain, sans crié gare. Les potions de sa grand-mère avait calmé les effets handicapant de la fièvre, mais les hallucinations continuait de le tourmenté... Ou est-ce vraiment des hallucinations? Ou bien des symptômes plus grave encore...

Depuis son interrogatoire avec Androméda, il ignorait si il tombait sur la vérité ou dans la paranoïa. Chaque pensé était fixé à savoir qui était derrière un complot machiavélique dont lui seul semblait se rendre compte ou veut s'en rendre compte, il devenait méfiant des personnes en dehors de sa famille, sachant pas si il sont avec lui ou contre lui. Qui était maintenant ces personnes digne de confiance hein?

Dampé se secoua la tête. Non, il devait resté sain d'esprit, il est trop jeune pour perde la tête comme sont grand-père. Il se frappa le crâne avec la paume de sa mains, comme si il voullait faire sortir quelques choses qui lui donnait des idées de cinglé.

À peine de retour à une réalité normal, le visage tourmenteur apparue avec un corps devant lui. Il regarda l'apparition tout en espèrent que personnes remarquait qu'il agripa la table comme si sa vie en dépendait et qu'il fixait quelque choses d'invisibles avec des yeux exorbités.

La silhouette se leva sur le banc, une corde apparu autour de son cou et de la poutre au plafond, d'un seul coup, la chaise se renversa sur le sol et la silhouette se pendit. Elle se mit à balancé, jetant un regard sur le crémateur, unique spectateur de la scène invisible pour tout les autre client. Il se leva, poussant table et chaise et fit des grand mouvement de bras.

- Allez vous en! Fiché moi la paix!

Sur ce cris du crémateur, l'apparition disparue et l'attention de l'auberge entière se braqua sur lui, une goûte de sueur tomba de son front et il se tomba sur sa chaise de tout son poids.